"... Alors on danse !" #2
Pour des raisons absolument indépendantes de l'insu de notre plein gré, nous n'avons pu vous livrer dans les délais requis - à savoir, dimanche passé - le deuxième chapitre de notre nouveau et passionnant rendez-vous dansant.
Nous avions d'abord pensé vous le poster le lundi suivant, mais une rubrique dominicale un lundi ça ne faisait guère sérieux, notre image risquait d'en pâtir.
Mardi nous avions "piscine", mercredi "poney", donc pas possible non plus.
Ne disons rien du jeudi : Jeudi, c'est jeudi on ne travaille pas.
Quant à vendredi, c'est vendredi: on ne travaille plus.
Quant à vendredi, c'est vendredi: on ne travaille plus.
Samedi on s’était bien dit que peut-être... et puis non !
Samedi c'est le jour des courses, du ménage, des lessives, du coiffeur... Bref : ce n'était absolument pas envisageable non plus.
Samedi c'est le jour des courses, du ménage, des lessives, du coiffeur... Bref : ce n'était absolument pas envisageable non plus.
Donc au final, nous revoilà dimanche et c'est très bien comme ça.
Bon, autant vous prévenir : va falloir pousser vos meubles pour pouvoir exécuter chez vous, la ci-devant chorégraphie.
Et oui, c'est que ça va remuer frénétiquement du croupion aujourd'hui.
Alors vous avez plutôt intérêt à vous mettre à votre aise.
De plus, alors que dans notre premier opus, tous les yeux étaient braqués sur les circonvolutions reptiliennes de la belle Antinéa, cette fois l'action sera diantrement plus chiadée à suivre !
Et si, lors de l'épisode inaugural, quelques esprits chagrins (j'ai les noms des meneurs dans mes dossiers, faites gaffe !) pouvaient penser que l'Atlantide, finalement, c'était pas le Pérou ; ici, la rédaction ne reculant devant rien pour vous éblouir, nous vous offrons rien moins que... la Lune!
D'ailleurs, à ce propos, le film qui nous intéresse aujourd’hui ne s’embarrasse pas d’ambiguïtés du côté du titre :
"FUSÉE POUR LA LUNE", c'est clair, net et précis, et ça devrait m'épargner la peine d'un résumé interminable :
C'est l'histoire d'une fusée qui est en route pour la Lune!
Bon, maintenant, si vous voulez chipoter, il y a matière !
On peut en effet légitimement se demander comment il était Dieu possible, 10 ans seulement avant le fameux pas de géant pour l’humanité posé par Mr. Armstrong sur notre bon vieux satellite, que les auteurs de cet improbable chef-d'oeuvre aient étés encore assez cornichons pour nous dépeindre l'astre lunaire peuplé d'une rocambolesque tribu d'amazones, fagotées comme des drag-queens chez Mireille Dumas, dans le spécial "Vie privée/Vie publique" d'un soir de réveillon !
Et si il n'y avait que ça ! Mais en plus, c'est qu'elles sont châtaignes comme tout, les gueuses !
Déjà, il y a la plus moche du lot, comme souvent, qui veut être calife à la place du calife.
De plus, cette virago à la fâcheuse manie de faire jeter en pâture à une grosse araignée pelucheuse et passablement empotée, toutes les terriennes ayant l'outrecuidance d'être mieux roulées qu'elle (La virago, pas l'araignée!... suivez, bon sang !)
Pendant ce temps-là, une autre sélénite trahit sa mère-patrie pour les beaux yeux d'un Yankee conquistador, et ce, alors même que le supérieur hiérarchique de celui-ci est sous l'emprise hypnotique de la première (Pas l'araignée, la virago!... je vous avais prévenus que ça ne serait pas du mille-feuilles ! )
Enfin, de toute façon, l'essentiel n'est pas là, puisque nous sommes ici pour... Danser !
Si c'est dimanche... alors on danse!
Bon, autant vous prévenir : va falloir pousser vos meubles pour pouvoir exécuter chez vous, la ci-devant chorégraphie.
Et oui, c'est que ça va remuer frénétiquement du croupion aujourd'hui.
Alors vous avez plutôt intérêt à vous mettre à votre aise.
De plus, alors que dans notre premier opus, tous les yeux étaient braqués sur les circonvolutions reptiliennes de la belle Antinéa, cette fois l'action sera diantrement plus chiadée à suivre !
Et si, lors de l'épisode inaugural, quelques esprits chagrins (j'ai les noms des meneurs dans mes dossiers, faites gaffe !) pouvaient penser que l'Atlantide, finalement, c'était pas le Pérou ; ici, la rédaction ne reculant devant rien pour vous éblouir, nous vous offrons rien moins que... la Lune!
Sélénites ou Bluebell girls?
(en tout cas, c'est sûr, c'est pas le comité rédactionnel de Mein Camp !)
(en tout cas, c'est sûr, c'est pas le comité rédactionnel de Mein Camp !)
D'ailleurs, à ce propos, le film qui nous intéresse aujourd’hui ne s’embarrasse pas d’ambiguïtés du côté du titre :
"FUSÉE POUR LA LUNE", c'est clair, net et précis, et ça devrait m'épargner la peine d'un résumé interminable :
C'est l'histoire d'une fusée qui est en route pour la Lune!
Au moins un titre qui ne vous trompe pas sur la marchandise !
Bon, maintenant, si vous voulez chipoter, il y a matière !
On peut en effet légitimement se demander comment il était Dieu possible, 10 ans seulement avant le fameux pas de géant pour l’humanité posé par Mr. Armstrong sur notre bon vieux satellite, que les auteurs de cet improbable chef-d'oeuvre aient étés encore assez cornichons pour nous dépeindre l'astre lunaire peuplé d'une rocambolesque tribu d'amazones, fagotées comme des drag-queens chez Mireille Dumas, dans le spécial "Vie privée/Vie publique" d'un soir de réveillon !
Un petit pas pour l'homme,
un grand coup de trompette pour l'humanité.
Et si il n'y avait que ça ! Mais en plus, c'est qu'elles sont châtaignes comme tout, les gueuses !
Déjà, il y a la plus moche du lot, comme souvent, qui veut être calife à la place du calife.
De plus, cette virago à la fâcheuse manie de faire jeter en pâture à une grosse araignée pelucheuse et passablement empotée, toutes les terriennes ayant l'outrecuidance d'être mieux roulées qu'elle (La virago, pas l'araignée!... suivez, bon sang !)
Pendant ce temps-là, une autre sélénite trahit sa mère-patrie pour les beaux yeux d'un Yankee conquistador, et ce, alors même que le supérieur hiérarchique de celui-ci est sous l'emprise hypnotique de la première (Pas l'araignée, la virago!... je vous avais prévenus que ça ne serait pas du mille-feuilles ! )
"Calife à la place du calife":
la schtroumpfette Nina Bara se prend pour Iznogoud.
Alors attention, le Grand Lido - c'est le nom de son altesse sérénissime la reine des amazones sélénites , je vous jure que je n'invente rien! - avec le panache qu'on lui connaît, va lancer les réjouissances, et nous présenter notre nouveau numéro dansant :
"Parle à ma main"
Ah, mais si, il y a tromperie sur la marchandise ! Si je me fie au titre néerlandais de l'affiche belge, le bon titre français est "Racket sur la Lune" !
RépondreSupprimerThis was great to read thank you
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