Spécial Anniversaire
Cadeau Bonux !
Par Valentine Deluxe
(et pas "Cadeau Deluxe par Valentine Bonux"...)
Allez, hop !... Il y en a un peu plus, on vous le met quand même ?
En attendant l'opus -- que je devine déjà aussi désopilant que passionnant -- de Mlle BBJane Hudson, voici quelques petites pépites supplémentaires pour bien apprécier TORCH SONG à sa juste (dé)mesure.
D'abord un petit digest en forme de bande-annonce... Ne manquent que les publicités Jean Mineur -- Balzac 00-01 --, un eskimo glacé, et ça serait parfait !
Avertissement:
L'agressivité acidulée du procédé Technicolor employé dans l’œuvre incriminée pouvant créer de graves lésions oculaires, la direction de MEIN CAMP décline toute responsabilité et un quelconque lien de cause à effet en cas de glaucome ou autres trucs pas très ragoûtants du même tonneau.
Si vous portez des lentilles de contact, nous ne saurions trop vous conseiller de les ôter sans tarder, elles risqueraient de fondre !
On ne pourra pas dire que vous n'avez pas été prévenus !
Ensuite, le clou (du cercueil) de ce merveilleux film.
D’après ce que l'on peut déduire, ce doit être le grand morceau, le "show-stopper" du nouveau spectacle de Jenny Stewart (très humblement baptisé "An Evening with Jenny" )
D’ailleurs, tout ceux qui assistent à la répétition générale sont bien d'accord là-dessus, c'est grandiose !
On pourrait néanmoins très légitimement se questionner sur leur taux d’alcoolémie ou sur l'état de leurs facultés mentales, car personnellement, je trouve qu'on n'est pas si loin du célébrissime "Springtime for Hitler" dans "Les Producteurs" de Mel Brooks !
Belle bande de faux-culs les copains de la Jenny, quand même !
Là où ça devient comique -- enfin, encore PLUS comique, veux-je dire --, c'est que TORCH SONG n'est pas à proprement parler une production de premier choix. Dès lors, on n’hésite pas à recycler tant qu'on peut afin de faire baisser quelque peu les frais généraux.
On pensait avoir bien planqué le cadavre, eh ben non !... Il y aura toujours des fouilles-machin pour aller vous exhumer tout ça, même 40 ans après !
Merveilleux, non ?
Je pense néanmoins que Debbie Reynolds (qui fait le commentaire de la ci-devant séquence) peut remercier le ciel que Joan Crawford ne soit plus de ce monde, car présenter Jenny Stewart, comme "une artiste sur le déclin", on a en retrouvé barbotant au fond de l'Hudson, les pieds dans une bassine de ciment, pour moins que ça !
Et pour conclure, nous vous laissons avec la parodie, aussi pointue qu’irrésistible, tout en kolossalle finesse, tirée du "Carrol Burnett Show"
Et bien...vous vous êtes surpassées....Quel bonheur de rire ainsi, Bravo !
RépondreSupprimeroh! vous ne pouviez pas nous faire plus beau compliment! ...et de grand matin, ça me fait ma dose de vitamine C pour le week-end! merci chère Anne O'nyme
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerMerci pour cette vidéo. C'est la première fois que je découvre d'où vient l'avatar du blog de Tom (Peeping).
Je savais qu'il s'agissait de la grande Joan Crawford mais je n'avais jamais vu cette séquence. C'est une merveille !
Jordan