par Valentine DELUXE
Pour notre rentrée sur votre blog bien aimé (à ce propos, va falloir ramasser le courrier, ouvrir les fenêtres et aérer un peu, car ça faisait quand même un bail que nous n’étions plus passées au bureau ; mille excuses et tous nos vœux au passage !), je vais faire quelque chose que ma rédactrice en chef préférée n’osait même plus imaginer dans ses rêves les plus fous : un article court, bref et concis !
Si si si, je vous jure ! Aujourd’hui, pas de digressions, de périphrases, de préambule... Je me concentre sur mon sujet, je m’y tiens, et je ne prends pas la bande de traverse pour aller papillonner dans les verts pâturages de mon imagination débordante.
Regardez, là par exemple, pour vous présenter mon film du jour, je vais faire simple :
Si si si, je vous jure ! Aujourd’hui, pas de digressions, de périphrases, de préambule... Je me concentre sur mon sujet, je m’y tiens, et je ne prends pas la bande de traverse pour aller papillonner dans les verts pâturages de mon imagination débordante.
Regardez, là par exemple, pour vous présenter mon film du jour, je vais faire simple :
Voilà ! L’essentiel est là, pas besoin d’en rajouter, le titre est suffisamment évocateur pour que je ne vous embête pas avec un résumé qui ne ferait qu’alourdir ma prose. Nous savons que vous avez assez de jugeote (ou tout du moins accès à un logiciel de traduction type « Google ») pour comprendre que « The Deadly Bees » se traduit peu ou prou par « Les Abeilles meurtrières ». Et « Les Abeilles meurtrières », c’est quand même plus parlant qu’un titre de film de Marguerite DURAS (1).
Donc, pour rester dans le style sans chichi que je me suis promis d'observer ici :
Donc, pour rester dans le style sans chichi que je me suis promis d'observer ici :
C’est une histoire d’abeilles !
(Un peu comme Moby Dick, sauf que dans ce truc-là, il s'agit une baleine...)
(Note de BBJ : Vous avez quand même raison de préciser, chère Valentine. D'aucuns pourraient croire qu'il y est question de la bite de Moby...)
(Note de BBJ : Vous avez quand même raison de préciser, chère Valentine. D'aucuns pourraient croire qu'il y est question de la bite de Moby...)
Mais comme nous sommes dans la rubrique musicale de MEIN CAMP, point de butineuses dans l’extrait qui suit -- et pas de baleine non plus, d’ailleurs --, juste une cruche qui chante sur un plateau de télé (pas mal comme concentré d’infos, vous ne trouvez pas ?...) Si nous étions chez nos amis de SOYONS-SUAVE (un blog dont nous ne louerons jamais assez la prodigieuse fantaisie, l’incroyable érudition, et surtout… la phénoménale fertilité éditoriale, qui nous laisse aussi ébahies qu’envieuses !...), vous pourriez vous croire en train de feuilleter le fameux « instant fourrure » !
En effet, devant les caméras d’un studio de télévision que l’on peut légitimement imaginer surchauffé (vu la taille des caméras, on se doute bien qu’ils ne s’éclairent pas à la lampe de poche !), la gueuze qui va nous geindre une de ces horribles rengaines dont le cinéma anglo-saxon des années 60 était si friand, n’a rien trouvé de mieux à enfiler pour enregistrer son vieux sourd qu’un merveilleux mais épais, très très épais manteau de vison à capuchon ! Forcément, l’incident n’est pas loin, vous pouvez me croire sur parole...
Remarquez, si ça ne suffit pas, vous pouvez toujours regarder l’extrait qui suit.
...la photo du cachalot est-elle contractuelle???
RépondreSupprimerNon, je crois que Moby est ravi qu'on lui ait attribué un dard aussi mortel^^
RépondreSupprimerPS. J'adore la caméra qui filme les caméras plus que la chanteuse, pour faire genre "voyez la technologie dot nous disposons" ou alors, pour nous rappeler qu'un "œil glauque nous regarde" toujours — bref, mais où allez-vous donc chercher de pareils nanars ? :)
J'aime bien le côté subjectif: si on ne voit pas la scène suivante on pourrais jurer que cette cruche s'est prise la caméra dans la tronche!
RépondreSupprimer...alors que la pauvre nous fait un épuisement (je peux vous l'affirmer, j'ai vu le reste du film)
RépondreSupprimerPour ce qui est du nanar, vous n'avez pas encore vu l'attaque des abeilles! ...je vous le met de côté pour une autre fois! ("abondance de bien nuit")