"Alors... On danse" #7 : The Final Chapter
Par Valentine Deluxe
Mes petits chats, je sais que vous risquez d’en avoir le cœur brisé, mais c’est déjà le dernier numéro de notre merveilleuse saga dansante ! Eh oui, la nouvelle est abominable, mais ne dit-on pas que " les meilleures choses ont une fin " ?
Remarquez, on dit aussi que "chaque pot à son couvercle", "qu'un clou chasse l'autre" et "qu'à bon chat, bon rat", mais cela n’a rien avoir avec ce qui nous occupe aujourd’hui.
Néanmoins, vous allez vite voir que pour bien terminer l’année, nous avons fait les choses en grand, en beau, en ondoyant et vaporeux !
Néanmoins, vous allez vite voir que pour bien terminer l’année, nous avons fait les choses en grand, en beau, en ondoyant et vaporeux !
Pour Noël, vous ne pensiez quand même pas
qu'on allait faire dans l'épure ???
En effet, les réveillons approchant au galop, nous avons décidé de mettre les petits plats dans les grands, et de vous offrir…
Dansante qui plus est !
Merveilleux, non ?
(Non ???)
L'épouvante Made in Lollywood !
Le Pakistan, où, après avoir apprécié le style éreintant de notre acrobatique danseuse-taupe de la semaine passée, nous allons nous offrir une séance moins épuisante au niveau des lombaires, toute en sensualité et mouvement coulés.
Planter le décor sera vite fait, puisque je compte sur votre ineffable culture cinématographique pour vous situer le bidule.
Vous voyez "Le Cauchemar de Dracula" de Terence Fisher ?
Oui ?
Eh bien ça tombe bien, parce que "Zinda Laash", c'est tout pareil !
Planter le décor sera vite fait, puisque je compte sur votre ineffable culture cinématographique pour vous situer le bidule.
Vous voyez "Le Cauchemar de Dracula" de Terence Fisher ?
Oui ?
Eh bien ça tombe bien, parce que "Zinda Laash", c'est tout pareil !
Comment ça, "un air de famille" ???
Et quand je dis "pareil", je ne plaisante pas, car les producteurs de ce petit bijou, ignorant vraisemblablement tout de la notion très occidentale de droits d'auteurs, nous en offrent quasiment la copie plus que conforme, musique comprise (si !)
Même les bruitages sont directement repiqués à la bande son du flamboyant chef-d'oeuvre de la Hammer !
Puisqu'on vous dit que ça n'a rien à voir !
Mais à Bollywood comme à "Lollywood" (variante pakistanaise du premier cité, l'un comme l'autre étant finalement des sobriquets assez condescendant vis-à-vis de deux industries cinématographiques parmi les plus prolifiques du monde), quel que soit le genre abordé, il faut toujours un peu de danse et chant.
Enfin, "un peu", on se comprend !... Le film fait quand même 40 minute de plus que son illustre modèle grâce à ces merveilleuses parenthèses musicales.
Bon, n'oubliez pas aujourd'hui d'agrémenter votre traditionnel collant lycra léopard de manches vaporeuse que vous pouvez découper dans de vieux rideaux, histoire de mieux coller au personnage.
Vous êtes prêts ?... Respirez un bon coup avant, car ça peut surprendre.
Je ne sais pas ce que vous en penserez, mais j'estime sincèrement qu'on a gardé le meilleur pour la fin!
En plus d'être une championne toute catégorie de l'oeil de velours, ainsi qu'un as de l'époussetage en musique (regardez bien entre 3:08 et 3:15 !), notre charmante vampirette ("qui rit qui p..." Oups! sorry, ça m'a échappé !) est aussi une tête de gondole dans le jeux du "on me voit/on me voit plus".
Et ça, moi, j'adore !
Démonstration:
Qu'est-ce que je vous disais ?... Merveilleux non ?...
Il ne nous reste plus qu'une chose à dire avant de clôturer notre dernier rendez-vous dansant de cette année :
...JOYEUX NOËL!
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